J’ai réussi à m’entraîner vendredi soir, samedi et ce lundi, dimanche j’ai dû m’occuper un peu de la maison et du jardin.

Vendredi et samedi j’ai amélioré mes chronos, monté plus facilement l’Espigoulier, toujours avec un vent fort (9ème jour de Mistral) qui m’a cloué sur place quand j’arrivais au sommet, j’ai dû mettre pied à terre avec une forte rafale sinon je tombais. Juste avant c’est une moto qui doublait une autre moto qui n’est pas passé loin de moi, heureusement que je serrais à droite. Il m’aura la prochaine fois…

Ce lundi, j’ai fait le parcours de la cyclo La Provençale Sainte-Victoire, il n’y avait pas de vent mais il faisait froid 6° quand je suis parti, déjà hier matin. C’est le réchauffement climatique, moi je trouve qu’il fait de plus en plus froid, d’un autre côté je vois des gens en petite tenue et qui roulent sans avoir froid…

Pour revenir à cette reconnaissance de parcours, je me souvenais bien des routes pourries, c’est toujours désagréable de rouler sur des revêtements dégradés avec pleins de trous et de bosses, les trous rebouchés n’importe comment font des bosses, il y a des spécialistes pour ça. La fin du parcours avec la montée du Grand Sambuc, je ne me souvenais pas de la difficulté et de la longueur, je me suis fait doubler par des petits groupes, je n’avais plus rien dans les jambes. Je n’avais plus rien à manger, j’ai eu un peu de mal à la fin, mais je n’ai pas eu de crampes, juste mal dans les lombaires, par moments.

J’ai quand même fait 17 minutes de moins que la dernière fois, c’est une bonne progression mais loin des performances que je m’étais fixé.

Je referai encore un tour par là-bas pour essayer de mieux monter le Sambuc.