Etape 2 : Cagnes-sur-Mer – Savona
Aujourd’hui la journĂ©e a Ă©tĂ© longue et pĂ©nible avec du vent de face presque tout le temps.
J’ai encore fait 184 kms et je commence Ă avoir mal aux fesses.
Je suis parti tÎt aprÚs un petit-déjeuner bien complet offert par ma sympathique logeuse.
J’ai rejoint trĂšs rapidement Nice par la piste cyclable qui va jusqu’Ă la promenade des Anglais.
De lĂ , j’ai dĂ©cidĂ© de monter par la grande corniche qui fait passer par le col d’Eze. Et un col de plus ! Pas trĂšs dur mais intĂ©ressant car souvent la derniĂšre Ă©tape du Paris-Nice. Je l’ai montĂ© avec un sympathique vttiste avec qui j’ai parlĂ© pendant l’ascension.
Ensuite je suis passĂ© par la Turbie qui domine Monaco et j’ai vite rejoint Menton et passĂ© la frontiĂšre.
Au fil des kilomĂštres, le vent a forci et c’Ă©tait dĂ©sagrĂ©able. J’ai vu des canadairs qui ont rempli leurs rĂ©servoirs, peut-ĂȘtre y avait-il un incendie pas loin.
CĂŽtĂ© paysages, de belles plages aussi et beaucoup de monde c’est dimanche.
J’ai mangĂ© des spaghettis avant San Remo et je ne me suis pas attardĂ© vu ma moyenne horaire, j’avais encore presque 100kms Ă faire encore.
Il faisait chaud, j’ai rempli mes bidons 3 fois et je me suis arrĂȘtĂ© boire des coca 3 fois aussi.
Le final dans Savona a Ă©tĂ© compliquĂ© mais j’ai bien trouvĂ© l’adresse de mes hĂ©bergeurs, un jeune couple. Ă presque 18h, il Ă©tait temps que j’arrive mais ce n’Ă©tait pas mon dernier effort, il a fallu monter l’escalier avec le vĂ©lo au 5Ăšme Ă©tage, l’ascenseur Ă©tant trop petit.
Je suis allĂ© manger mais tous les restos vers le port Ă©taient bondĂ©s et je me suis retrouvĂ© dans une pizzeria oĂč j’ai mal mangĂ©.
Normal les pizzas c est toi qui les fait d habitude ah ah ah
Et tres bonnes en plus !