De Nara à Osaka : 44 kms / D+ 523 m

Après une bonne nuit, je me suis levé pour préparer mes affaires, faire ma toilette et j’ai pris un café dans l’espace cuisine de la guesthouse.
J’ai ensuite acheté au kombini de quoi manger et pris la route pour le sanctuaire shinto Katsuga Taisha, à 2 kms de là. Il n’y avait personne à 7h30.

J’ai assez vite enchainé avec le temple Kofukuji où il y a la 2ème plus grande pagode du Japon.

Pour sortir de la ville, pas mal de carrefours et de stop&go. Je m’attendais ensuite à gravir un petit col à pente raide, le col Kuragari (Alt 451m 2.63Km D+ 372m Pente moy ~ 10% max ~ 30%) et il y a effectivement des murs. Au début ça allait mais après j’ai ensuite zigzagué pour atténuer la pente jusqu’au moment où j’en pouvais plus.

Mais la descente n’a pas été triste non plus, avec un freinage quasi-continu, qui a chauffé la jante mais surtout à la fin avec la présence de rigoles de plus en plus larges qui m’ont obligé de les enjamber à l’arrêt pour ne pas abimer les roues ou crever.

Belle vue sur Osaka qui paraissait proche mais il restait bien encore 15kms..

Arrivé au centre d’Osaka, le gratte-ciel Abeno Harukas, haut de 300 m pour 60 étages, ne passe pas inaperçu. C’est le gratte-ciel le plus haut du Japon. Il a été inauguré en 2014.

Ensuite on voit la Tour Tsūtenkaku de 103 m.

Je suis passé au coeur du quartier Dotonbori et à 2km de l’hôtel, j’ai tenté un resto mais sans succès, j’ai pas compris s’il fallait réserver avant.

Bref j’ai continué jusqu’à l’hôtel mais ils font le check-in qu’à partir de 15h.

J’ai pu laisser mes bagages, garer mon vélo dans un parking souterrain de l’hôtel et je suis allé manger une soupe miso au porc dans un petit resto japonais. Pas terrible.
En attendant 15h, je me suis baladé dans le quartier et je suis retourné à l’hôtel pour entrer dans la chambre, prendre une douche et me changer avant de repartir voir Dotonbori et le centre commercial Namba Parks.

En fin d’après-midi, j’ai mangé tôt, comme les japonais, et je me suis empifré de takoyakis, d’une okonomiyaki, puis comme si ça suffisait pas, un taiyaki.

Quand je suis rentré à l’hôtel, il tombait quelques gouttes.

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