Aujourd’hui, j’ai roulé sous la pluie, intermittente et pas forte, mais j’ai dû réviser le parcours que j’avais en tête, parce-que la descente de la route des Crêtes su Cassis avec une route mouillée et des freins qui ne freinent plus beaucoup, c’était prendre des risques.

Demain, il fera sûrement le même temps, et je vais certainement sortir encore mais sur un parcours plus petit.

Dans la semaine, j’étais sorti un soir, après le travail, avec de l’éclairage à l’avant et un feu rouge à l’arrière. J’ai les jambes qui me démangent… Lors de cette sortie, j’ai croisé un cycliste qui avait un éclairage à l’avant aussi gros et lumineux qu’un phare de voiture… Encore quelques jours, et le passage à l’heure d’été et le réchauffement de l’air vont changer beaucoup de choses.

A partir de maintenant, j’essaie d’augmenter le dénivelé de mes sorties, pour pouvoir encaisser la montée de plusieurs cols cet été. Il n’y a pas de secret, il faut s’entraîner à grimper, et répéter ce genre d’exercice pour être prêt.
Je vais aussi continuer à faire de longues sorties et varier avec des séances plus courtes et intensives pour améliorer mon explosivité, même si je n’ai pas d’objectif pour la cyclo de la fin du mois d’Avril dans laquelle je suis inscrit.

Mes seuls objectifs sont de bien figurer au classement, c’est-à-dire à peu près au milieu, et de prendre du plaisir, également aux 24 heures du circuit Paul Ricard, où je vais finalement être inscrit (en quatuor), et où l’ambiance et l’organisation laisseront, j’en suis sûr, de bons souvenirs. Et être bien préparé pour les Dolomites, pour ne pas trop souffrir dans les cols. Pour cela, il faudrait que je réussisse à perdre encore du poids mais je n’y arrive pas.