Objectif : être prêt à temps
Les jours passent, les séances chez le kiné se poursuivent, je devrais aller de mieux en mieux, mais à ce jour, quand on voit ce qui reste comme temps pour se préparer, ça fait peur quand on pense au niveau qu’il faut atteindre pour être prêt pour ce défi, la TPBR.
Pour le moment, j’ai des douleurs dans le poignet et la main, mais le seuil de la douleur recule, je ne me sens pas capable de hausser l’intensité et d’allonger la distance, mais je sens que je suis sur la bonne voie. L’entraînement va payer, mais aujourd’hui, c’est dur d’aller rouler le soir après le travail, quand on sait qu’on va souffrir, ou de faire des exercices tous les matins avant de partir au travail. Là aussi, au fil du temps, comme ça ira de mieux en mieux, l’objectif sera dans ma tête, celui de réussir ce défi, et la motivation va aller crescendo.
Encore 2-3 semaines pour revenir à mon niveau de fin d’année dernière avant ma blessure, espérer pouvoir augmenter la charge progressivement, pour qu’en avril je puisse supporter une charge maximale, sur des parcours avec des ascensions de cols de moyenne montagne puis par la suite, des cols de haute montagne qui commenceront à être ouverts.
Un weekend pour me tester sur le final de l’épreuve, du Ventoux à Nice, et une semaine en Suisse avec le retour jusqu’au Ventoux, avec l’enchainement de longs parcours pendant plusieurs jours. Arrivera le temps de la regénération, de l’entretien pour arriver affûté.
Parallèlement à ça, continuer le renforcement musculaire, avec du gainage et du squat, préparer le vélo, avec le changement des pièces d’usure, remettre la roue à moyeu dynamo, avec l’éclairage et poser les stickers réfléchissants, comme demandé par l’organisateur.
Une source de motivation : la casquette avec le nom de tous les participants :